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Et bien si, il y a toujours des bureaux d'ingénieurs en stabilité qui travaillent sans logiciel dans la région de Charleroi, ce qui est marrant c'est qu'en suite il vérifie leurs calculs par un logiciel

Mon fils est architecte, aucun architecte en Belgique ne peut faire un calcul de stabilité ou de calcul de résistance, tout ces calculs doivent obligatoirement être réalisés par un bureau d'études spécialisé ou par un architecte ayant en plus un diplôme d'ingénieur.

Mdame Lili a écrit :Et bien si, il y a toujours des bureaux d'ingénieurs en stabilité qui travaillent sans logiciel dans la région de Charleroi

Ca s'appelle du masochisme

Mdame Lili a écrit :Mon fils est architecte, aucun architecte en Belgique ne peut faire un calcul de stabilité ou de calcul de résistance

En France c'est pareil, il faut passer par un BET (bureau d'étude technique)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bureau_d%2 ... techniques
(ce qui n'empêche pas à l'architecte de faire ses propres calculs au préalable)

Concernant les ponts, le cas du pont (ou le viaduc) de Millau. à été réalisé en maquette et placé dans une soufflerie, pour des différents tests. Après la construction à pu être lancé.
Pour les ponts, quand le vent dépasse une certaine vitesse, ils ferme le pont aux poids lourds ou à tous les véhicules.

Mdame Lili a écrit :les normes françaises n'étaient pas acceptées en Belgique car elles étaient trop "minimalistes"

Pas mal hors sujet :

Mais pourtant en France, il existe même des normes pour le calibrage des œufs en fonction de l'âge des enfants dans les cantines.

Fin du HS

Laurent Hoppl@ a écrit :

Mdame Lili a écrit :Et bien si, il y a toujours des bureaux d'ingénieurs en stabilité qui travaillent sans logiciel dans la région de Charleroi

Ca s'appelle du masochisme

Mdame Lili a écrit :Mon fils est architecte, aucun architecte en Belgique ne peut faire un calcul de stabilité ou de calcul de résistance

En France c'est pareil, il faut passer par un BET (bureau d'étude technique)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bureau_d%2 ... techniques
(ce qui n'empêche pas à l'architecte de faire ses propres calculs au préalable)

Oui c'est bien le cas.

tout calcul de stabilité, qu'il soit à la main ou par logiciel ne change rien au problème.
Ce qui est primordial ce sont les hypothèses de départ, et les calculs de résistance vont en dépendre. Tout l'art de l'ingénieur est dans les choix de départ, le reste.....n'est que passage à la moulinette (à Charleroi, ils calculent encore à la règle à calcul, d'ailleurs j'ai toujours la mienne dans mon tiroir)
manuelle?? ou ordinateur.

il ya des année, j'ai trouvé par hasard un petit fascicule dans lequel André Waterkeyn (l'ingénieur de l'Atomium) expliquait les défis posés par ce monument que personne n'avait jamais fait et qu'il fallait jeter les bases des calculs, le reste...

Jean-Paul