Re: Savoir arrêter .....
Publié : 10 avr. 2015 12:22
Pour mon mari : 2 infarctus majeurs suivis de 2 morts subites...
La première rattrapée après 2h et demie de massages...
Bravo à l'équipe composée d'aides soignants et d'un interne, week end de 1er mai !
Je pense fortement que si cela avait été de grands pontes, ils auraient pris un autre décision.
Donc en invalidité à 40 ans.
Je ne peux pas dire qu'il avait un métier dur : il était enseignant...
Implantation Déf. il en est à son 7ème, c'est parmi les plus vieux implantés encore vivants !
Et je vous passe l'hypertension, l'arythmie ventriculaire complète et fibrillation auriculaire permanente.
Et les médocs.
Les médecins lui donnaient au max 2 ans...
Cela fait 25 ans !
Nous continuons à vivre comme si rien n'était (ou presque) avec beaucoup d'humour !
Je dis nous car je le seconde.
Nous vivons à la campagne et il n'hésite pas à travailler dans les bois (enfin, je tiens à être à ses côtés)...
mais chut, ne pas le dire aux toubibs...
Dernièrement, on a craint d'arrêter car ça n'allait pas fort, mais la machine est repartie.
Toujours caravaniers.
Je me relis, et je me dis que pour nous la vie est belle.
La première rattrapée après 2h et demie de massages...
Bravo à l'équipe composée d'aides soignants et d'un interne, week end de 1er mai !
Je pense fortement que si cela avait été de grands pontes, ils auraient pris un autre décision.
Donc en invalidité à 40 ans.
Je ne peux pas dire qu'il avait un métier dur : il était enseignant...
Implantation Déf. il en est à son 7ème, c'est parmi les plus vieux implantés encore vivants !
Et je vous passe l'hypertension, l'arythmie ventriculaire complète et fibrillation auriculaire permanente.
Et les médocs.
Les médecins lui donnaient au max 2 ans...
Cela fait 25 ans !
Nous continuons à vivre comme si rien n'était (ou presque) avec beaucoup d'humour !
Je dis nous car je le seconde.
Nous vivons à la campagne et il n'hésite pas à travailler dans les bois (enfin, je tiens à être à ses côtés)...
mais chut, ne pas le dire aux toubibs...
Dernièrement, on a craint d'arrêter car ça n'allait pas fort, mais la machine est repartie.
Toujours caravaniers.
Je me relis, et je me dis que pour nous la vie est belle.