Avez-vous des souvenirs inoubliables

[jcc22]

Euuuuuuuh ! Des BONS souvenirs vous zen avez pas ???

Oh que si !!!

Le matin où mon père m'a téléphoné en me disant d'une voix blanche:
J'ai une mauvaise nouvelle pour toi !

En l'espace que quelques secondes, j'ai compris que le "pour toi" avait forcément un rapport avec notre caravane remisée sur le terrain à côté de sa maison et j'ai demandé un peu contrarié:
Quoi ? Une branche du cerisier est tombé sur le toit de ma caravane ?

Réponse de mon père:
Non, le portail du terrain a été forcé, il est grand ouvert et ta caravane à disparu cette nuit avec tout son contenu ! "Ils" ont aussi essayé de voler notre "Jetstar" mais n'ont pas eu le temps de la sortir !




Papy80 souhaite un bon souvenir, alors en voici un !

En 1977, alors que nous traversions la France en provenance de je ne sais plus quelle destination. Nous décidons pour leur faire une surprise, d'aller retrouver mes beaux-parents qui avaient pris une location de vacances à Nyons dans la Drôme.
Notre attelage était composé de ma Simca 1100 de fonction et de notre toute première Digue 300 CL de 2.80 m de longueur et 500 kg de ptac.

Arrivés en pleine nuit à destination et ne pouvant plus nous installer dans un camping, nous décidons pour passer la nuit de garer notre attelage sur la grande place presque déserte qui s'offre à nous, pas très loin de l'adresse de la location des beaux-parents.

Épuisés par notre long périple, nous nous endormons avec notre fils de 5 ans d'un profond sommeil réparateur.

Le lendemain matin vers 9h, alors que nous dormions encore comme des loirs, nous sommes réveillés tout à coup par un tambourinement sur la porte de la caravane et nous nous retrouvons face au père de Claudine qui venant chercher son pain, n'en croyait pas ses yeux en reconnaissant notre attelage.

Mais le plus drôle reste à venir !
C'est ébouriffés et en pyjama que nous nous sommes retrouvés devant notre caravane cernés de toute part en plein milieu d'un marché méridional qui s'était installé au petit matin sans que le profond sommeil de notre jeunesse ne soit perturbé par le brouhaha qui régnait !

jcc22.

[veronica999]

Oui un autre souvenir plus amusant mais qui aurait pu mal tourner ...
On est arrivé une fois en Bretagne dans une rue -assez étroite- donc en voiture avec la caravane attelée - on a rencontré des gens qui souriaient et riaient en nous voyant - je me demandais ce que l'on avait de drôle ... j'ai dit à mon mari : "c'est bizarre les gens nous regardent ...t'as pas vu ? ils ne font que sourire ..." - il m'a répondu "bof ! et alors ?"
finalement au bout : c'était une impasse... mais pas n'importe qelle impasse ......
c'était la base militaire de Brest ... les portes étaient justement grande ouvertes - mon mari qui est très décontracté (comme toujours) m'a dit : "je vais faire demi tour là dedans, autrement je ne vais pas m'en sortir pour les manoeuvres !" - le jeune homme de garde était médusé ...et gesticulait, complètement affolé - un autre plus âgé a surgi en courant et en hurlant vers nous, et aussi en nous pointant un fusil - il nous a crié "vous voyez pas où vous êtes ici ? c'est interdit" - là je ne riais plus du tout ...
Mon mari avec son accent chantant lui a dit : "excusez moi mais je ne sais pas encore faire les manoeuvres et les demi-tours ...merci beaucoup de nous laisser faire, on s'en va de suite " et tout s'est bien passé il a accepté ... !
(on n'aurait rien volé de toute manière dans la base ... pas assez de places dans la caravane - et il a vu nos têtes sympathiques ... ) les gens étaient médusés quand on est sorti de là - Michel n'avait pas vu les panneaux à l'entrée de l'impasse ...
- ça c'est un drôle de souvenir ...
(depuis je regarde bien les panneaux moi aussi... )

[veronica999]

Un post ici m'a fait penser à un autre souvenir amusant - donc voici !
Nous revenions d'Espagne et nous étions de passage au Pays basque un soir pour rentrer chez nous - on était très fatigué par la route et il fallait qu'on y passe la nuit - c'était du temps où il y avait pas mal d'attentats ... ma mère m'avait téléphoné en disant "de faire attention et d'être prudent pour passer la nuit là bas" ... - nous nous installons sur un parking de supermarché désert - et on voyait des gardiens avec des chiens qui circulaient - donc rassurés et tranquilles nous passons la nuit dans la caravane sur ce parking - bien sûr à la nuit les gardiens étaient partis, hélas - tout à coup je fut réveillée par des bruits étranges et forts il était 5 heures du matin - donc je regarde dehors ce qu'il se passait - il était 5 heures du matin ... je regarde donc à la fenêtre et je nous vois entourés - complètement encerclés - de poulets - dindons - canards et autres volailles ! ... j'en croyais pas mes yeux - surprise ! c'était le jour du marché et ils s'étaient installés tous autour de nous ! tout ça piaillaient, autant la volaille que les gens ! un bruit ... on en a ri bien sûr et on a pris notre mal en patience -
On n'a pas pu sortir la caravane de là - ils étaient contre notre porte (on ne les gênait pas du tout - en plus - c'était vraiment comme si on n'existait pas ... ) - on a du attendre 14 heures qu'ils soient tous partis pour reprendre la route et rentrer chez nous sur Bordeaux !

[jcc22]

Je pense que nous ne sommes pas les seuls caravaniers à nous être faits piéger sur la place d'un marché car en arrivant de nuit dans une ville on ne pense pas forcément que le lendemain sera jour de marché à l'endroit ou l'on se croit tranquille pour la nuit !

[Mdame Lili]

Nous voilà en 1977, nous partons pour la Yougoslavie.
1 mois de prévu et énormément de différents campings programmés.
Le 1er arrêt c'est à Lubiana. Le restaurant affiche une carte bien variée mais uniquement dans la langue du pays, la solution je bats des bras et j'articule cocotcot cocotcot, j'ai réussi nous avons eu du poulet dans notre assiette.
Dès les 1er jours nous faisons connaissance avec un petit garçon basané qui rapidement lie amitié avec notre fils, ils ne se quittent plus. La voiture des parents est immatriculée dans le 75 et ils parlent relativement bien le français. Nous effectuons l'itinéraire que j'ai prévu et nous retrouvons toujours le petit Adriano. Un jour, je prépare des frites et il s'exclame j'aime les frites, le voilà donc installé avec nous à table. Bientôt une certaine complicité s'installe avec la famille, car incroyable mais vrai, leur itinéraire correspond en tout point au nôtre et de campings en campings nous nous retrouvons.
Ils sont brésiliens et le mari José fait ses études à la Sorbonne pour obtenir son doctorat en sociologie. Après la complicité, l'amitié, venez chez nous à Paris, venez chez nous à Charleroi. Oui, les retrouvailles furent nombreuses aussi bien à Paris qu'à Charleroi. Après leur retour au Brésil en 1980, le courrier écrit à pris la relève, maintenant ce sont les émails, les échanges via Skype ou encore le téléphone. Une très longue et réelle amitié toujours aussi forte.

[jcc22]

Une belle rencontre Lili; cette histoire du petit Adriano me fait penser à celle que nous avons vécue en camping avec un petit garçon nommé Fabrice.

En Août 1979, nous étions en vacances en Bretagne à Carnac avec notre fils qui avait 7ans et mon épouse qui avait le ventre bien rond car elle attendait le petit frère pour décembre.

Durant notre séjour nous avions en permanence un petit garçon qui tournait autour de l'emplacement et cherchait à lier connaissance car il était livré à lui-même et trainait dans le camping toute la journée car son père travaillait la semaine et ne retrouvait sa famille que le week-end. Sa maman toujours bien habillée, maquillée, pomponnée ne s'occupait que d'elle et sortait beaucoup (enfin vous voyez le genre) . Le petit quant à lui était sale et morveux mais mignon et tellement attachant. Ce qui fait que la semaine j'étais un peu son papa de substitution: Dis, Jc tu peux me regonfler mon vélo, Claudine, j'ai faim tu peux me donner à goûter etc...

Nous en avons gardé un souvenir émouvant et notre second fils né le 21 décembre de cette même année s'appelle........ Fabrice !

[Decarpentrie Bernard]

Bonsoir

Pour Lili nous étions aussi en Yougo au mois d'aout cette année là et nous nous sommes peut ètre rencontré mais sans se connaitre.
Ma femme dans une boucherie de Sarajévo faisait le veau pour en acheter. Elle est ressorti avec des oeufs

Nanard

[robocopfp]

un bon souvenir je viens d avoir un sacré cadeau de ma FEMME , pour mon anniversaire ,
j ai reçu un vol en parapente que je viens de faire le lundi 11 Avril 2011 ,
un super cadeau 3/4 de vol monter a 1600 m ,
une journée superbe , avec un pilote simpa , j en ai pris plein la tête et plein les yeux ,
je suis prêt a recommencer ,
j en suis a me demander si je vais pas vendre ma moto et me mettre au parapente ,
j ai encore du mal a réalisé

[de.rene]

T'es parti du Markstein?

[de.rene]

Ah la Yougo, que de souvenir........

Un autre, en 1970, fin juillet, après un périple en Gréce, nous remontons la Yougoslavie. Mes parents décide de faire un détour halte à Skopié le mardi avec pour objectif le mercredi d'aller visiter un jeyser dans le coin.
Le jour dit, nous nous mettons en route. Au bout de quelques kilomètres, nous roulons sur une route en plein travaux. Un camion nous croise puis 2 puis 3...progression pas facile mais bon le jeyser en vaut la peine dixit guide bleu.

Au croisement d'un de ces camions de chantier, nous recevons sur notre pare brise, un bon caillou, pare brise de l'époque en petit morceau. Visite du jeyser reporté à un voyage ultérieur. Retour sur Skopié, recherche de concessionnaire de la marque, pas de carglass à l'époque..! Rien à faire sur place , il nous faut aller sur Belgrade (la porte à coté)

Nous nous mettons donc en route pour la capitale, sans pare brise, nosuu à l'arrière enmitoufler dans nos sacs de couchage...!
Donc jedi route puis arrivée à Belgrade en soirée, recherche du camping. Vendredi matin mon père part avec moi à la recherche du concessionnaire Opel. Ma mère et mes soeurs restant au camping. Nous trouvons enfin la concession, il est 11 h. Accueil sympa, tout le personnel était en train de terminer de nettoyer le garage et à 11 h 15 ce vendredi, commancait pour eux le week end. Le chef de garage nous donnant RDV lundi matin.....!Et rien à négocier, c'est comme ça chez nous...!
Dépiter, nous repartons au camping, et pas le choix mes parents retravaillant le lundi, choix est fait de continuer notre route, il nous sera impossible de faire réparer en Yougo. Arrivée tard le soir en Autriche à Villach et là le samedi matin les garagistes travaillaient.
Bilan environ 1300 km sans par brise, à gober les insectes de tout genre, et un jeyser à toujours aller voir.

[jcc22]

Bonsoir

Pour Lili nous étions aussi en Yougo au mois d'aout cette année là et nous nous sommes peut ètre rencontré mais sans se connaitre.
Ma femme dans une boucherie de Sarajévo faisait le veau pour en acheter. Elle est ressorti avec des oeufs

Nanard

Heureusement qu'elle n'a pas eu l'idée d'acheter du lapin et te demander de mimer !





@ robocopfp,

Il faudra retirer de ton profil: Activité ne rien faire et remplacer par faire du parapente !

[Mdame Lili]

Toujours en Yougoslavie.
Nous sommes à Dobrota dans les bouches du Kotor, le temps est splendide et l'on aperçoit dans le lointain la côte située juste en face.
La petite embarcation gonflable dans laquelle le père et le fils ont embarqués s'éloignent peu à peu. Je déteste l'eau, donc j'attendrai sur la plage leur retour. Nous avions oublié combien la nuit tombe rapidement dans cette partie de l'Europe et je commence à paniquer, je ne les vois plus, je ne les entends plus. Je vais dans la caravane chercher la lampe au gaz et j'agite celle-ci régulièrement. Ce fut la bonne réaction, car non seulement la côte en face ne fut jamais atteinte mais ils se sentaient complètement égarés dans la vaste étendue d'eau.

Un roman fleuve ce pays. Sur l'Ile de Rab, Chou glisse en jouant une partie de football avec le fils, poignet complètement retourné.
Nous voilà parti dans un hôpital et heureusement le médecin baragouine l'anglais. Il nous explique qu'il faut absolument passer des radiographies afin de savoir s'il faut plâtrer. Nous n'avons pas du matériel performant très proche, c'est à environ 200km, il nous donne l'adresse et nos voila partis.
Nous n'avons pas passer de radio car c'était un centre d'aliénés mentaux, qui grimpaient aux fils barbelés, qui criaient, qui, qui.... J'ai repris le volant et retour au camping. Un médecin danois regarde le poignet nous assure que rien n'est cassé et que nous pouvons continué nos vacances.
Arrêt à Turin pour le retour, je vérifie le niveau d'huile moteur et je laisse tomber le bouchon dans le compartiment moteur, lorsque je l'ai retrouvé le plus dur fut de le récupérer

[gaston990]

Vous m'avez bien fait rire avec vos histoires !
Je vais essayer de vous en raconter une ou deux à moi !

Premier voyage en caravane : on quitte La Panne sous un soleil chaud, arrêt à Saumur (j'y serais bien restée tant c'était agréable), à Royan, on rate le bac et on continue par Bordeaux ! Arrivée à Soulac, le temps a bien changé : il pleut des cordes... à perte de vue... L'auvent est costaud, tout résiste; mais derrière notre emplacement, dans le bois, une kyrielle de petites tentes : un groupe de jeunes. Leurs tentes n'ont pas résisté; les responsables appellent les parents... en attendant l'arrivée des parents, les jeunes viennent se mettre au sec... dans notre auvent ! Génial, serrés comme des sardines, mais tant de bonne humeur au programme malgré leurs vacances foutues...
* * * * *
Autre année : ma fille dort dans sa tente... l'heure tourne, j'attends patiemment (je suis très patiente) qu'elle s'éveille.. mais........... elle a un sommeil de plomb.... Je vais voir dans sa tente : stupeur, la tente est vide... Je retourne le camping, fouille la plage, je crois que je deviens folle, mon mari aussi, je veux appeler la police... mais le chef de camp tempère : elle ne peut mal dans le camping ! oui, mais si elle est sortie du camping ??? Il fouille lui-même le camping, et la retrouve endormie dans une autre tente, près d'une copine ! la maman de la copine ne s'était pas étonnée... mais moi, j'étais paniquée.....
* * * * *
D'autres fois, quand les copines n'étaient pas au rendez-vous, j'avais un truc infaillible pour sauver une après-midi, une soirée : je sortais une couverture sur laquelle je retournais la caisse aux jouets, aux barbies, et je me mettais à cuisiner : des crêpes ou des pop-corn ! infaillible ! par l'odeur attirés, les petits amis ne manquaient pas d'arriver !
* * * * *
Une année, c'était dans les Pyrénées, à Agos Vidalos, les enfants voulaient aller à la pêche ! mon mari et moi n'avions jamais tenu une canne à pêche en main. Les voisins nous avaient recommandé une pêcherie, proche ! là, les poissons étaient faciles à attraper !
En effet, les poissons affamés se ruaient sur les cannes à pêche ! fallait encore leur enlever les hameçons (beurkk) ! mais les seaux se remplissaient et les enfants étaient heureux. On payait avant de sortir, le poids des poissons pêchés (et nettoyés). Lorsque nous sommes rentrés au camping, nous nous demandions bien que faire de notre pêche miraculeuse... Alors, nous avons rassemblé notre grill électrique, le bbQ des voisins, la voisine avait préparé une sauce hollandaise, et nous avons rassemblé nos tables et nos assiettes et mangé avec les voisins ! Cela aussi, c'était génial !
* * * * *

Il y a aussi eu l'année du chien : Simba avait 3 mois, le chef de camp m'avait dit "que voulez-vous que je vous fasse payer pour un aussi petit chien ?" Mais, quel chien !
Mon mari et moi, nous n'étions pas d'accord sur la manière de l'éduquer : je voulais l'attacher à une grande corde liée à un bidon d'eau de 5 litres; mon mari voulait qu'il apprenne à rester libre sur l'emplacement ! C'était sans compter sur la présence d'un autre chien sur le camping : une femelle qui vagabondait et qui se plaisait parmi nous ! elle venait s'installer dans nos fauteuils, passer la nuit sous l'auvent, manger dans le plat de Simba, mais toujours après lui... elle le maternait et l'emmenait promener ! Quand on voyait "petite grosse", on savait que Simba n'était pas loin ! elle lui apprenait la vie de chien ! cette chienne était si gentille, les enfants s'y attachaient...
Un jour, qu'est-ce que je vois ? Simba sortait de la tente des voisins ! Mais enfin, sale bête qu'as-tu été faire là ? veux-tu bien rentrer chez nous ??? L'après-midi passa calmement, mais le soir, en revenant du sanitaire, je vis la voisine qui sortait de sa tente en s'exclamant : ha ha ha ! les chiens ont mangé notre pizza !
Directement, j'envoyais mon mari au village : rapporte une pizza, la plus grande, la mieux garnie..... pour la voisine ! Beaucoup de rires, l'occasion de faire connaissance et de prendre l'apéritif !
Petite grosse allait aussi retourner les poubelles, le bbq... elle et simba étaient inséparables...
Arriva le moment du départ : les enfants voulaient qu'on la prenne avec... alors on a laissé la porte de l'auto ouverte, mais elle nous a regardés tristement partir... Arrivés à Quingey (étape), les enfants pleuraient toutes les larmes de leur corps, alors on est revenus pour chercher Petite Grosse : on l'a entendue pleurer, on l'a retrouvée attachée à un piquet chez le voisin du camping. Le chef de camp a téléphoné à son voisin : c'était un chasseur, petite grosse était son meilleur chien de chasse et il la cherchait depuis quinze jours !

[pomgirl]

Bonjour a tous

Une petite aventure qui nous est arriver hier , heureusement cela c'est bien terminer

Étant en vacances dans le Finistère , Nous décidons d'aller en visite a Locronan , voir l'un des plus beaux villages de France , a 27 kms du camping . Arrivée sur le parking du village , nous descendons de voiture et Nounou , ma moitié , tout en laissant la porte ouverte de la voiture , clic pour fermer le véhicule. Et hop , les clés dans la poche de son petit gilet , mais , ce dit t' il , il y a un peu de vent , je vais plutôt mettre mon polaire , donc , il enlève son petit gilet et le met sur la banquette arrière , et enfile son polaire , mais , HOHOHOHOHOHOHO, trop tard , il a refermer la porte et les clés sont dans la poche du gilet là , derrière la vitre , toutes portes fermées , ZUT , ZUT , et moi qui est changer de sac , et le double est resté a la caravane . Comment faire pas d'autre solution , prendre un taxi , et retourner chercher le double a la cara . Arriver au camping avec le taxi , Heureusement les cliquets de la cara était restés au deuxième cran pour aérer , bidouillage de la fenêtre et voila Nounou qui enjambe la fenêtre et roule sur le lit pour ouvrir la porte et que j'aille récupérer le double dans mon deuxième sac
Retour a Locronan avec le taxi pour terminer la visite de ce beau petit village et récupérer la voiture , résultat , 43 euros 70 au compteur du taxi , mais la mésaventure se termine bien

BYE

[lebaniego]

Oui un retour d'hivernage sur l'autoroute A1 avec des rafales qui devaient froler les 100 km/h...

Et les camions qui dépassaient ne faisaient qu'ajouter du vent au moulin (formule on ne peut mieux trouvée) !

C'était tout au début et j'avais trés peu, pour ne pas dire aucune expérience de la traction... Un grand moment.