Bonjours,
Qui devons croire ?
Des journalistes qui ont sait, avance parfois des choses aberrantes, ou les professionnels, c'est à dire ceux qui mettent en place les réseaux, ceux qui les utilisent tout les jours avec les limites connues pour localiser des personnes en danger. Limites qui je le rappelle sont techniques et également dans le domaine du droit.
La réponse de l'officier sapeurs-pompier Belge a été très claire (post 30/10/11 à 9h53), il s'agit d'un professionnel dont ses services sont confrontés à ce problème tout les jours (j'ai donné ses coordonnées). Rien de différent avec la France.
Les belges ne font pas confiance à leurs sapeurs-pompier ?
Que pouvons faire face aux informations journalistiques non vérifiées ? rien !, c'est pour cette raison que parfois ils annoncent la mort d'une personne, alors qu'elle est toujours vivante

ou alors qu'ils indiquent que les sapeurs-pompiers sont intervenus sur un incendie avec des appareils à oxygéne
Alors dans ce dernier cas "mes jeunes" ils font confiance à qui ? à leur formateur professionnel, ou aux journalistes dont les téléspectateurs ont de plus en plus tendance à croire qu'ils ont la parole divine ?
Si il y a un sujet que je connais bien, c'est bien celui du traitement des secours, 25 ans de responsabilité au sein d'un Codis, à former les opérateurs et chef de salle à toute type de situation dont la problèmatique dans la localisation d'une intervention, c'est à dire trouver des astuces, ou se servir des retours d'expériences enregistrés et archivés.
25 ans à essayer d'améliorer avec les ingénieurs réseau et informatique la réponse à ces problèmes de localisation, combien pour les journalistes ?